Destinées
--> Chapitre 10, ni relu ni corrigé.
Le soleil, à son zénith, tapait sur les épaules de Nalia, lui faisant penser qu’elle portait un fardeau énorme. Elle découvrit avec stupeur que ses oreilles pelaient, signe d’un stress intense. « Pourquoi moi ? Comment peut-elle être sure que c’est moi, l’Elue de la prophétie ? Comment peut-elle le savoir ? »
Jadeïla, qui avançait quelques mètres devant elle, se retourna et s’arrêta pour l’attendre :
- Dépêche toi, nous avons déjà perdu assez de temps !
- Mais je suis fatiguée !
- Allons donc ! Si tu n’es pas capable de supporter un voyage comme celui-là, je me demande combien de temps tu survivras dans les autres mondes !
- Qu’allons nous faire, une fois arrivées au lac Miroir ? interrogea Nalia en se remettant en marche, la tête basse.
- Nous passerons dans mon monde, puis nous nous dirigerons sans nous attarder dans celui des Farfadets. En chemin, je t’apprendrais à te servir de tes pouvoirs, mais nous aurons très peu de temps . Une fois dans le monde de nos alliés, dans lequel tu t’aventureras seule, un garçon en qui j’ai toute confiance te rejoindra. Il sera ton guide. La prophétie a anoncé qu’avant de te mettre en quête du monde des Destinées, tu devras sauver quelqu’un d’un des servants de Goshenar. Tout porte à croire qu’il s’agit de la sœur de ce garçon, prisonnière d’un roi rebelle. Si tu réussit, alors nous saurons que tu es vraiment celle que l’on attendait. Le garçon se nomme Finraël, sa sœur Erzagaël. Ce sont les enfants de la reine Lisaline, surnommée la Douce, à cause de son caractère pacifique. Elle sera peut-être en mesure de te donner des informations . Maintenant, avance, ou je serais obligée de te forcer !
- Et que feras tu donc ? Normalement, tu n’as pas le droit de me tuer ! rétorqua Nalia en relevant effrontément le nez.
Jadeï soupira, ses yeux flamboyèrent. Nalia cria, un étau invisible venait de se resserrer autour de son crâne. Elle tomba à genoux, se tenant la tête à deux mains.
- Arrête ca ! Jadeïla ! par pitié arrête ! Je te promets que je ferais tout ce que tu voudra ! hurla-t-elle, les larmes aux yeux.
La douleur s’évanouie peu à peu. L’Océanide ouvrit la bouche, laissa échapper un petit rire métallique :
- Comme tu le vois, j’ai d’excellents arguments. Rien de tel que la douleur pour forcer les autres à vous obéir.
- Tu es…cruelle…haleta l’Elfe en se relevant. Elle titubait.
- Pas cruelle. Déterminée ! corrigea la jeune fille en se retournant. Marche, maintenant, et plus de bêtise, ou je me mettrais en colère. Tu sais ce que ca veut dire, maintenant.
Nalia soupira, et commença à avancer en traînant les pieds. Sa tête la lançait encore douloureusement, ses oreilles bourdonnaient. Elle ne pouvait qu’obéir. Ce qu’elle détestait faire, surtout sous la menace.
« Cette fille doit être pire que le démon lui-même ! » songea-t-elle amèrement.
- Tu pense beaucoup trop fort ! déclara Jadeï en souriant.
Tout marchait comme elle le voulait. Elle aurait voulu ne pas faire appel à ses pouvoirs aussi tôt, mais la jeune fille s’était vite rendue compte que cela s’imposait.
« En 150 ans, je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi têtue ! Elle est pire que Fin ! Et déjà celui-là, j’ai du mal à le faire tenir en place !» Elle soupira, et dit à vois haute :
- Maintenant, Nalia, si tu veux bien, nous allons tenter l’expérience. Tu vas te concentrer sur moi, et essayer de lire dans mes pensées.
Nalia soupira, mais ne répondit rien.
- Et pas de mauvaise volonté, s’il te plaît, le temps presse et ce que je vais te faire essayer est très important.
- Et si je n’y arrive pas ? Et si ca ne fonctionne pas ? demanda la princesse, tendue.
- Ca fonctionnera, fait moi confiance !
« Bien obligée de lui faire confiance, si je ne veux pas qu’elle me fasse mal ! »
Néanmoins, contenant son envie de se ruer sur Jadeïla pour l’assommer, « l’élue » se concentra, essayant de faire le vide dans son esprit et de ne penser qu’à une seule chose : l’Océanide.
Soudain, elle retrouva cette sensation de transe qu’elle avait connue pour la première fois en haut de l’arbre. Une impression de flottement. Dans sa tête, tout se passait très vite. Elle n’avait qu’à poser une question mentalement, pour trouver une réponse, directement dans les pensées de Jadeïla.
« Qu’est-il vraiment arrivé à Kim, le jour de sa chute ? »interrogea-t-elle.
Au regard que Nalia lui lança, l’Océanide su que l’Elfe savait. Elle soupira et, tournant la tête, se mit à marcher, de dos par rapport à sa compagne, pour éviter de la regarder.
Ce brusque mouvement sortit Nalia se sa transe. Elle se secoua, tel un chien qui s’ébroue, et s’empressa de rattraper l’étrangère.
- Pourquoi as-tu provoqué la chute de mon frère ?Pourquoi ? tu n’avais pas le droit ! cria-t-elle, furieuse.
- Il fallait que je l’éloigne de toi. C’était la seule solution. Un enfant comme lui n’avait pas sa place dans pareil voyage, expliqua Jadeï, conservant son calme inquiétant.
- Et donc, tu as jugé normal de le faire tomber ! Tu aurais pu le tuer !
La jeune fille leva le poing vers l’étrangère. Celle ci fronça les sourcils, mais ne s’écarta pas, et continua :
- J’aurais pu, en effet, si j’avais été folle ! Je ne le suis pas ! je sais parfaitement ce que je fais et mon coup était bien calculé !C’était la seule solution pour le préserver, Nalia ! Essaye de comprendre ! Que préfèrerais-tu ? Qu’il ait une jambe cassée, et qu’il remarche normalement au bout d’un moment, ou bien qu’il meure en t’accompagnant ? Ce que j’ai fait, je ne l’ai pas fait de gaieté de cœur !
- Tu aurais pu me le dire !
- Et pourquoi ? Tu aurais finit par le découvrir ! Maintenant ou plus tard !
Elle baissa la tête, soupira tout en continuant à avancer d’un pas égal :
- Je suis désolée, Nalia, mais je n’avais pas le choix. Jusqu’au dernier moment, j’ai cherché une autre solution. Mais je n’en voyais pas… Il n’y en avait pas ! Alors maintenant, calme toi ! Et essaye de me comprendre ! Je n’avais pas le temps de réfléchir. C’était maintenant ou jamais.
Nalia ne répondit rien. Elle serra les poings et, silencieuses, les deux filles continuèrent leur voyage. Elles marchèrent pendant deux jours et deux nuits, ne s’accordant que de courtes pauses et n’échangeant qu’un minimum de paroles.
Autour d’elles, le paysage montagneux , surmonté par le Pic, devint de plus en plus imposant. Enfin, au crépuscule, elles arrivèrent sur un surplomb rocheux, en dessous duquel se tenait une grande étendue d’eau transparente et profonde.
Jadeïla s’immobilisa soudain. Nalia frissonna. Son ouïe fine lui permit de repérer des cris étouffés et des grognements rauques.
- Des Trolls ? interrogea-t-elle nerveusement.
- Non, des gobelins. Ils étaient déjà là quand je suis passée pour venir te rejoindre. J’en ai liquidé quelques uns, mais ils sont encore nombreux ; la seule chose qu’ils craignent vraiment, c’est l’eau. Tu as une gourde ?
Nalia vérifia. Sa réserve d’eau était presque pleine.
- Je vais me faufiler en bas. Tu me donneras ton arc. Je t’ouvrirais le passage. Pendant ce temps, cours vers le lac, et plonge dedans. Si tout ce qu’on m’a dit sur tes pouvoirs est vrai, tu peux transformer certaines parties de ton corps à ta guise. Quand tu seras dans l’eau, essaye de m’imiter.
A ces mots, des écailles multicolores se mirent à couvrir peu à peu les jambes de Jadeïla. D’abord sur ses pieds nus, et ensuite, remontant jusqu’à ses cuisses. Une queue de poisson prit finalement la place des jambes musclées de l’Océanide. Celle-ci sourit en voyant l’étonnement se peindre sur la figure de sa compagne :
- C’est en cela que réside le pouvoir des océanides. Dès que nous entrons dans l’eau, nous pouvons y respirer et y nager. Tu devras faire comme moi . Normalement, tu n’auras qu’à te concentrer et essayer de visualiser ton corps se couvrir d’écailles. Nage vers le fond du lac, je te rejoindrais , si je le peux encore . Maintenant, prête moi ton arc, et attends le signal.
Sans attendre de réponse, Jadeïla reprit sa forme normale, prit l’arme, tendit à Nalia une dague, et se faufila, de rocher en rocher, silencieuse, vers le camps des Gobelins. Quand elle ne parvint plus à distinguer la silhouette de la jeune fille, qui avait disparut dans la semi-obscurité du soir. Nalia s’aplatit contre la roche et attendit, inquiète, tendue.
6commentaires...de personnes différentes! (tout ca pour te donner le temps d'écrire la suite)*tien, tu es revenue Besty?*
Jadeïla, qui avançait quelques mètres devant elle, se retourna et s’arrêta pour l’attendre :
- Dépêche toi, nous avons déjà perdu assez de temps !
- Mais je suis fatiguée !
- Allons donc ! Si tu n’es pas capable de supporter un voyage comme celui-là, je me demande combien de temps tu survivras dans les autres mondes !
- Qu’allons nous faire, une fois arrivées au lac Miroir ? interrogea Nalia en se remettant en marche, la tête basse.
- Nous passerons dans mon monde, puis nous nous dirigerons sans nous attarder dans celui des Farfadets. En chemin, je t’apprendrais à te servir de tes pouvoirs, mais nous aurons très peu de temps . Une fois dans le monde de nos alliés, dans lequel tu t’aventureras seule, un garçon en qui j’ai toute confiance te rejoindra. Il sera ton guide. La prophétie a anoncé qu’avant de te mettre en quête du monde des Destinées, tu devras sauver quelqu’un d’un des servants de Goshenar. Tout porte à croire qu’il s’agit de la sœur de ce garçon, prisonnière d’un roi rebelle. Si tu réussit, alors nous saurons que tu es vraiment celle que l’on attendait. Le garçon se nomme Finraël, sa sœur Erzagaël. Ce sont les enfants de la reine Lisaline, surnommée la Douce, à cause de son caractère pacifique. Elle sera peut-être en mesure de te donner des informations . Maintenant, avance, ou je serais obligée de te forcer !
- Et que feras tu donc ? Normalement, tu n’as pas le droit de me tuer ! rétorqua Nalia en relevant effrontément le nez.
Jadeï soupira, ses yeux flamboyèrent. Nalia cria, un étau invisible venait de se resserrer autour de son crâne. Elle tomba à genoux, se tenant la tête à deux mains.
- Arrête ca ! Jadeïla ! par pitié arrête ! Je te promets que je ferais tout ce que tu voudra ! hurla-t-elle, les larmes aux yeux.
La douleur s’évanouie peu à peu. L’Océanide ouvrit la bouche, laissa échapper un petit rire métallique :
- Comme tu le vois, j’ai d’excellents arguments. Rien de tel que la douleur pour forcer les autres à vous obéir.
- Tu es…cruelle…haleta l’Elfe en se relevant. Elle titubait.
- Pas cruelle. Déterminée ! corrigea la jeune fille en se retournant. Marche, maintenant, et plus de bêtise, ou je me mettrais en colère. Tu sais ce que ca veut dire, maintenant.
Nalia soupira, et commença à avancer en traînant les pieds. Sa tête la lançait encore douloureusement, ses oreilles bourdonnaient. Elle ne pouvait qu’obéir. Ce qu’elle détestait faire, surtout sous la menace.
« Cette fille doit être pire que le démon lui-même ! » songea-t-elle amèrement.
- Tu pense beaucoup trop fort ! déclara Jadeï en souriant.
Tout marchait comme elle le voulait. Elle aurait voulu ne pas faire appel à ses pouvoirs aussi tôt, mais la jeune fille s’était vite rendue compte que cela s’imposait.
« En 150 ans, je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi têtue ! Elle est pire que Fin ! Et déjà celui-là, j’ai du mal à le faire tenir en place !» Elle soupira, et dit à vois haute :
- Maintenant, Nalia, si tu veux bien, nous allons tenter l’expérience. Tu vas te concentrer sur moi, et essayer de lire dans mes pensées.
Nalia soupira, mais ne répondit rien.
- Et pas de mauvaise volonté, s’il te plaît, le temps presse et ce que je vais te faire essayer est très important.
- Et si je n’y arrive pas ? Et si ca ne fonctionne pas ? demanda la princesse, tendue.
- Ca fonctionnera, fait moi confiance !
« Bien obligée de lui faire confiance, si je ne veux pas qu’elle me fasse mal ! »
Néanmoins, contenant son envie de se ruer sur Jadeïla pour l’assommer, « l’élue » se concentra, essayant de faire le vide dans son esprit et de ne penser qu’à une seule chose : l’Océanide.
Soudain, elle retrouva cette sensation de transe qu’elle avait connue pour la première fois en haut de l’arbre. Une impression de flottement. Dans sa tête, tout se passait très vite. Elle n’avait qu’à poser une question mentalement, pour trouver une réponse, directement dans les pensées de Jadeïla.
« Qu’est-il vraiment arrivé à Kim, le jour de sa chute ? »interrogea-t-elle.
Au regard que Nalia lui lança, l’Océanide su que l’Elfe savait. Elle soupira et, tournant la tête, se mit à marcher, de dos par rapport à sa compagne, pour éviter de la regarder.
Ce brusque mouvement sortit Nalia se sa transe. Elle se secoua, tel un chien qui s’ébroue, et s’empressa de rattraper l’étrangère.
- Pourquoi as-tu provoqué la chute de mon frère ?Pourquoi ? tu n’avais pas le droit ! cria-t-elle, furieuse.
- Il fallait que je l’éloigne de toi. C’était la seule solution. Un enfant comme lui n’avait pas sa place dans pareil voyage, expliqua Jadeï, conservant son calme inquiétant.
- Et donc, tu as jugé normal de le faire tomber ! Tu aurais pu le tuer !
La jeune fille leva le poing vers l’étrangère. Celle ci fronça les sourcils, mais ne s’écarta pas, et continua :
- J’aurais pu, en effet, si j’avais été folle ! Je ne le suis pas ! je sais parfaitement ce que je fais et mon coup était bien calculé !C’était la seule solution pour le préserver, Nalia ! Essaye de comprendre ! Que préfèrerais-tu ? Qu’il ait une jambe cassée, et qu’il remarche normalement au bout d’un moment, ou bien qu’il meure en t’accompagnant ? Ce que j’ai fait, je ne l’ai pas fait de gaieté de cœur !
- Tu aurais pu me le dire !
- Et pourquoi ? Tu aurais finit par le découvrir ! Maintenant ou plus tard !
Elle baissa la tête, soupira tout en continuant à avancer d’un pas égal :
- Je suis désolée, Nalia, mais je n’avais pas le choix. Jusqu’au dernier moment, j’ai cherché une autre solution. Mais je n’en voyais pas… Il n’y en avait pas ! Alors maintenant, calme toi ! Et essaye de me comprendre ! Je n’avais pas le temps de réfléchir. C’était maintenant ou jamais.
Nalia ne répondit rien. Elle serra les poings et, silencieuses, les deux filles continuèrent leur voyage. Elles marchèrent pendant deux jours et deux nuits, ne s’accordant que de courtes pauses et n’échangeant qu’un minimum de paroles.
Autour d’elles, le paysage montagneux , surmonté par le Pic, devint de plus en plus imposant. Enfin, au crépuscule, elles arrivèrent sur un surplomb rocheux, en dessous duquel se tenait une grande étendue d’eau transparente et profonde.
Jadeïla s’immobilisa soudain. Nalia frissonna. Son ouïe fine lui permit de repérer des cris étouffés et des grognements rauques.
- Des Trolls ? interrogea-t-elle nerveusement.
- Non, des gobelins. Ils étaient déjà là quand je suis passée pour venir te rejoindre. J’en ai liquidé quelques uns, mais ils sont encore nombreux ; la seule chose qu’ils craignent vraiment, c’est l’eau. Tu as une gourde ?
Nalia vérifia. Sa réserve d’eau était presque pleine.
- Je vais me faufiler en bas. Tu me donneras ton arc. Je t’ouvrirais le passage. Pendant ce temps, cours vers le lac, et plonge dedans. Si tout ce qu’on m’a dit sur tes pouvoirs est vrai, tu peux transformer certaines parties de ton corps à ta guise. Quand tu seras dans l’eau, essaye de m’imiter.
A ces mots, des écailles multicolores se mirent à couvrir peu à peu les jambes de Jadeïla. D’abord sur ses pieds nus, et ensuite, remontant jusqu’à ses cuisses. Une queue de poisson prit finalement la place des jambes musclées de l’Océanide. Celle-ci sourit en voyant l’étonnement se peindre sur la figure de sa compagne :
- C’est en cela que réside le pouvoir des océanides. Dès que nous entrons dans l’eau, nous pouvons y respirer et y nager. Tu devras faire comme moi . Normalement, tu n’auras qu’à te concentrer et essayer de visualiser ton corps se couvrir d’écailles. Nage vers le fond du lac, je te rejoindrais , si je le peux encore . Maintenant, prête moi ton arc, et attends le signal.
Sans attendre de réponse, Jadeïla reprit sa forme normale, prit l’arme, tendit à Nalia une dague, et se faufila, de rocher en rocher, silencieuse, vers le camps des Gobelins. Quand elle ne parvint plus à distinguer la silhouette de la jeune fille, qui avait disparut dans la semi-obscurité du soir. Nalia s’aplatit contre la roche et attendit, inquiète, tendue.
6commentaires...de personnes différentes! (tout ca pour te donner le temps d'écrire la suite)*tien, tu es revenue Besty?*
Ecrit par Cassandra, le Dimanche 25 Mai 2003, 16:32 dans la rubrique Textes de Cass.
Commentaires :
Re: Re:
je ne l'ai pas encore lu mais je les copies sur un dosieret hors conexion je les lit ca va plus vite et c'est moins chers . je te dirai demain ce que j'en pense ....
et oiu j'eatai impatiente parce que tes hisstoires sont vraiment bien
et oiu j'eatai impatiente parce que tes hisstoires sont vraiment bien
Re: Re: Re:
C'est sympa merci beaucoup (pas mal la méthode de lecture!).
J'attends ton avis.
:-)
Bon, nous en sommes toujours à 1 commentaire...encore 5 autres...
J'attends ton avis.
:-)
Bon, nous en sommes toujours à 1 commentaire...encore 5 autres...
Re: Re: Re: Re:
et t'aretes pas meme si ya pas de commentaires je serais vraiment tristes
chose a part comment vous avez fait pour les etoiles
chose a part comment vous avez fait pour les etoiles
Re: Re: Re: Re: Re:
Les commentaires, c'est juste pour rigoler (et rendre Cha jalouse, lol!). Pour les étoiles, il faut lui demander, c'est elle la spécialiste!
Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Oui... Je suis jaloooouuuuououououououseuh!!! Et pour les étoiles... Disons qu'un petit script fait l'affaire...
un petit commentationnage pour la route, un !
Nalia va-t-elle réussir à se transformer en créature de la mer ? Telle est la question...
Nalia va-t-elle réussir à se transformer en créature de la mer ? Telle est la question...
roussetoujours26
enfin je me demandais quans il allait arriver